“UN SUCCÈS COLOSSAL” : SACRÉ CŒUR, LE FILM SUR LE CHRIST | GPTV INVESTIGATION
Description
Le 16 octobre 2025 à 17h, Mike Borowski vous embarquait pour un reportage de terrain, sur GPTV Investigation.
Laïcité à géométrie variable et bannière interdite
La sortie de Sacré Cœur a révélé le vrai visage de la censure d’État travestie en neutralité. MediaTransports, régie RATP et SNCF, a refusé l’affiche du film pour « prosélytisme religieux ». Ce rejet trahit un anticléricalisme enfoui dans les rouages publics. Pourtant, la même régie accepte des campagnes alignées sur l’orthodoxie politico-médiatique, même sur des sujets géopolitiques sensibles.
Deux poids, deux mesures : l’image du Christ bannie, mais des messages communautaires admis. La République nie l’héritage spirituel de la France tout en laissant place à des affichages soutenus par le CRIF dans les gares.
Le bannissement a propulsé le film. Les salles se remplissent, les files s’allongent, les séances s’ajoutent. Sacré Cœur atteint 336 écrans, mobilise familles, paroisses, influenceurs. Hors des circuits publicitaires, le bouche-à-oreille l’emporte.
En une semaine, 50 000 entrées sont franchies. Le boycott se retourne contre ses auteurs : la France réelle couronne un récit enraciné, tourné vers le Christ et Marguerite-Marie Alacoque. Le public paie sa place, renversant la censure par le guichet.
Le peuple contre les filtres
L’affaire montre l’absurdité d’un système où une régie publique filtre le débat religieux et politique selon ses convenances. La « neutralité » devient un levier d’exclusion ciblant le christianisme. L’affichage se fait sélectif selon les dogmes dominants.
L’hypocrisie éclate : interdiction initiale, justification bureaucratique, puis volte-face médiatique. La France n’a pas besoin de curateurs idéologiques. Le public a infligé une défaite aux censeurs.
Privé d’affichage, le film est devenu un ralliement. Les spectateurs ont voté avec leurs pieds, les exploitants ont suivi : 336 écrans au 15 octobre. La tentative d’invisibilisation a créé un symbole. La France silencieuse s’est levée par désir, non par consigne.
Fin de règne du cinéma subventionné
Pendant que le public plébiscite le sacré, le système continue d’arroser des films idéologisés sans public. Des aides subventionnent des œuvres formatées pour plaire à des commissions, pas aux spectateurs.
On finance des films « woke » vides de substance, et les salles restent vides. Sacré Cœur renverse cette logique : aucun passe-droit, mais un public présent. Le contraste devient insoutenable.
Les Français ne sont pas dupes. Ils réclament des œuvres enracinées, porteuses de valeurs, de saints, d’histoire. Sacré Cœur incarne ce retour. Le succès n’est pas un accident, mais un signal. La reconquête culturelle commence par le cœur.
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